L’autonomie retrouvée du jeune Sayed, amputé par une mine en Afghanistan
Actuellement, huit personnes sur dix tuées ou blessées par l’explosion d’une mine de par le monde sont des civils. Les enfants payent un lourd tribut puisqu’ils représentent la moitié des victimes. À l’image de Sayed, afghan amputé d’une jambe à l’âge de 4 ans.
Elles sont proscrites depuis un traité international de 1997. Pourtant, les mines antipersonnelles continuent de tuer et mutiler indistinctement dans nombre de pays en guerre ou en proie à des confits armés régionaux qui perdurent. Une explication au fait que ces armes explosives continuent à être utilisées repose sur leur faible coût et la facilité à les produire. Ainsi, c’est le souffle d’une mine artisanale qui est responsable de l’amputation de la jambe gauche de Sayed en Afghanistan en 2014, un enfant âgé à l’époque d’à peine 4 ans. Comment surmonter une telle tragédie, en particulier quand on vit dans une zone éloignée de tout ?
Grâce à l’aide internationale, en particulier celle déployée par l’association Handicap international. Sans oublier bien sûr le support de la famille. Voici l’histoire de la reconstruction de Sayed, de son accident, aux premiers exercices de renforcement musculaire jusqu’à la pose d’une prothèse lui permettant de retrouver l’autonomie. Signalé par O. Clot-Faybesse
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