Journée mondiale du handicap : des handicaps invisibles mais pas imaginaires

Publié le 9 octobre 2020 par Valérie Di Chiappari
dialog or communication, information and knowledge exchange
Par crainte d'être rejetées ou dévalorisées, des personnes atteintes de handicaps invisibles n'osent pas en parler. Elles ont pourtant beaucoup à dire. © Adobe Stock

80 % des handicaps ne se voient pas. Invisibles, ils n’ont pourtant rien d’imaginaire. Sclérose en plaques, épilepsie, bipolarité, surdité, dyslexie… : à l’occasion de la Journée mondiale du handicap, ce 9 octobre, ils et elles témoignent.

Ni fauteuil roulant, ni canne blanche, ni quoi que ce soit laissant supposer l’existence d’une déficience. 80 % sont invisibles. Sclérose en plaques, maladie rare, trouble cognitif, sensoriel, psychique, autisme… : des atteintes qui ont pourtant de lourdes conséquences au quotidien pour celles et ceux qui en sont atteints.

Incompréhension et préjugés

Des conséquences en matière de santé : grande fatigue, perte d’équilibre, de mémoire, douleurs… De vie sociale, professionnelle, familiale. Celles et ceux concernés doivent alors affronter l’incompréhension des autres et leurs préjugés. Ils prennent la parole en cette journée mondiale du handicap ce vendredi 9 octobre.

“Donner l’apparence de vivre en communion.”

Mickaël souffre de dyslexie. Dans ces échanges avec les autres, il doit faire preuve d’une immense concentration et trouver des “subterfuges” pour “donner l’apparence de vivre en communion“. Voici son témoignage.

 

 

Retrouvez d’autres témoignages sur les réseaux sociaux de Faire Face, et dans un dossier dédié du magazine.

Handicaps invisibles : dépasser les apparences

 

Le magazine Faire Face a consacré un dossier complet aux handicaps invisibles. De nombreuses personnes y témoignent de leurs difficultés au quotidien. Il propose dispositifs, conseils, contacts pour se faire aider, défendre ses droits et trouver des solutions pour mieux appréhender ses relations avec les autres. Objectif : mieux vivre avec et déconstruire les préjugés sur les handicaps invisibles.

 

Comment 5 commentaires

Oui je suis prise à 50% en MDPH et j ai un handicap invisible suite à une opération où on m a lésé plusieurs nerfs sur une jambe erreur médicale et de plus maintenant pathologie des seins calcifications je me retrouve seule et sans emplois très déprimée et l on me dis que je dois retrouver un travail de plus j ai des soins dentaires non fait et n ai peu de moyens

Bjr moi je touche MDPH par la caf j ai des problème au jambre j ai fait une pumeanaire j ai un traitement pour le stress pour la seculation du sans et je suit beaucoup essoufflé quant je fait des chose je suit suivi par les médecins j ai un loyer je payl 227de ma poche l’ouverture de gaz plus facture électricité plus ouveture l eau plus ouverture voilà je c pas pour combien je vais m’en sortire vue je touche 902’72 donc avoire sans comte très de j ai des facture a parte la le moins novembre je c pas comment faire plus les course en sachent j ai deux enfants un mercredi sir deux et la moitié des petite vacance et les grandes vacances une fille de 7 ans et un garçon de 9ans Aujourd’hui expliquer moi comment on peut en sortire et que MDPH on a pas beaucoup d’aide niveau financier et dans la vie tout hotmante sauf les salaire et les aide adulte handicapé merci pour sa

Je suis scandalisée, profondément déçue par Faire Face et APF France Handicap. Qu’est-ce que c’est que cette faço, de balancer en vrac 80% des personnes handicapées dans les handicaps invisibles ! mélangeant des troubles qui n’ont rien de commun comme les maladies invalidantes, les troubles sensoriels, cognitifs et psychiques. Vous ne comprenez et ne connaissez rien du handicap

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