Nouvelle piste dans le traitement de la sclérose en plaques
Publié le 1 février 2021 par Olivier Clot-Faybesse


Dans les cellules, la synthèse des protéines passe par une multitude d’étapes préalables. L’ARN messager (en vert et en gros plan sur l’image prise au microscope atomique) est un acteur indispensable de leur fabrication. © Inserm/D. Pastré
Grâce au succès de l’emploi de l’ARN messager, les pathologies auto-immunes comme la sclérose en plaques pourraient voir leur traitement révolutionné. Un espoir pour ces maladies invalidantes, encore méconnues et insuffisamment soignées.
L’ARN messager occupe le devant de la scène depuis de nombreuses semaines. En effet, cette technologie innovante est à l’origine de l’obtention des premiers vaccins efficaces contre le Covid-19. Moins médiatisé est le bénéfice que l’ARN messager pourrait avoir dans le traitement des maladies auto-immunes, en particulier la sclérose en plaques, maladie évolutive et souvent perçue par les malades comme injuste.
Une cellule, un plan de montage, une protéine
Bien que complexe à mettre en œuvre, le principe de l’ARN messager...
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