Journée mondiale de la santé mentale : une alliée à protéger

Publié le 10 octobre 2023 par La rédaction
Être formé aux premiers secours en santé mentale permet d'aider mais aussi de briser un tabou, de changer le regard de la société sur la souffrance psychique et d'inciter les personnes qui vont mal à consulter un spécialiste.

Ce 10 octobre, c’est la Journée mondiale de la santé mentale. Tout aussi importante que la santé physique, l’OMS la définit comme un état de bien-être grâce auquel une personne peut se réaliser, affronter les difficultés, prendre des décisions et mener une vie professionnelle, sociale et familiale. Or, quand la santé mentale vacille (troubles anxieux, dépression…), ce qui peut arriver à n’importe qui, n’importe quand, il existe des moyens pour se faire aider et aussi pour mieux accompagner celle ou celui qui souffre. Le magazine Faire Face y a consacré un dossier complet.

Groupe de parole : échanger pour avancer

France Dépression propose des groupes de parole gratuits où des personnes souffrant de troubles dépressifs et des aidants peuvent venir vider leur sac. Si chacun vit différemment la maladie, partager son vécu et écouter celui des autres s’avère souvent salvateur.

Prévalence : mesurer les circonstances aggravantes

Annonce d’une maladie, d’un handicap, isolement, épuisement… Les personnes handicapées et leurs proches aidants sont plus à risque de développer des troubles de santé mentale (anxiété, dépression…). Cette dernière, souvent reléguée au dernier plan, devrait pourtant faire l’objet d’autant d’attention que la santé physique.

Santé mentale : une alliée à protéger

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Repérage  : apprendre et ne plus se méprendre

Par gêne ou méconnaissance des troubles psychiques et de leur fréquence, on a tendance à les minimiser ou à les nier. Pourtant, se montrer à l’écoute de celui qui souffre, sans a priori, et l’inviter à se renseigner sur ce qui l’aiderait à aller mieux, peut dénouer bien des situations.

Origines : lever le voile sur les maladies

Biologiques, génétiques, mais aussi environnementales ou liées aux événements de la vie… Les origines des maladies psychiques s’avèrent multiples et s’imbriquent différemment d’un individu à l’autre. Faute de pouvoir être décryptées précisément, leur caractère pathologique se voit parfois nié. De quoi engendrer de regrettables stigmatisations.

Aides : remplir sa trousse de secours

Les ressources pour retrouver sa santé mentale sont plus nombreuses qu’on ne l’imagine. Au-delà des nôtres, à identifier et à développer, des lignes d’écoute ou des lectures permettent souvent de faire le premier pas pour s’aider. Ensuite, qu’importe le parcours, l’essentiel est de retrouver le cap.

Comment 1 commentaire

la stigmatisation et le rejet sont d une violence pour celui qui a une maladie mentale Pour avancer suivant son degré de maladie pour avancer vers l autonomie du plus grand nombre il faut vraiment une pedagogie vers le plus grand nombre que ce soit les médias le corps medicale les acteurs sociaux les hommes politiques Dans cette période de crise la recrudescence du rejet est un enfer pour les malades qui peuvent dans un désespoir plus grand arreter leur traitement mettre fin a leur jour

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