Goaleo, le réseau qui veut rassembler plus de sportifs handicapés

Publié le 12 septembre 2016 par Franck Seuret
Mickaël Jeremiasz, le porte-drapeau de l'équipe de France aux Jeux paralympiques, publie régulièrement des tribunes sur Goaleo.

Goaleo, le réseau social dédié au sport, souhaite aider les sportifs handicapés à trouver des partenaires pour pratiquer et des structures accessibles. Des champions handisport y délivrent également leurs conseils.

Le basketteur Boris Diaw, la boxeuse médaillée d’argent à Rio Sarah Ourahmoune et l’ex-tennisman Michaël Llodra sont sur Goaleo. Mais aussi Mickaël Jeremiasz, le champion de tennis-fauteuil. Ou Emmanuelle Assmann, l’ex-escrimeuse devenue présidente du Comité paralympique et sportif français.

Ce réseau social dédié au sport accueille de nombreux sportifs. Professionnels ou amateurs, champions ou débutants, valides ou handicapés… Comme tout autre réseau social, Goaleo vise à permettre à ses membres, des passionnés de sport, de créer des liens.

Un algorithme adapté aux handisportifs

Près d’un an et demi après son lancement, en janvier 2015, Goaleo vient de renforcer son offre de services pour les handisportifs. La start-up a conclu, en mai 2016, un partenariat avec la Fondation FDJ, qui soutient financièrement des projets sport et handicap.

Depuis, elle a intégré dans sa base de données les coordonnées des structures sportives accueillant des personnes en situation de handicap. « Et puis, nous avons adapté notre algorithme afin que nos membres handisportifs puissent plus facilement trouver des partenaires, valides ou handicapés, explique Jean-Marc Gillet, son fondateur. Pour jouer au tennis ou au golf, par exemple. »

Conseils de champions en vidéo

Par ailleurs, des coachs sportifs handicapés, comme Mickaël Jeremiasz, partagent leur expérience. Le porte-drapeau de l’équipe de France aux Jeux paralympiques y signe régulièrement des tribunes. La dernière porte justement sur sa mission à Rio et ses objectifs personnels.

Et six tutoriels vidéo vont être mis en ligne. Dans le premier, posté le 9 septembre, Nicolas Peifer, médaillé d’argent en double aux Jeux de Londres, en 2012, y décortique son « coup spécial » : le revers inversé. Un coup gagnant. Franck Seuret

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